J’ai récemment passé du temps à expliquer le concept de transfert à un certain nombre d’individus désireux d’approfondir leurs connaissances psychanalytiques et d’approfondir leur appréciation du processus de travail en psychothérapie.
Selon FreudQuotes, Transference 1. (allemand: Übertragung) est un mot très utile de la psychanalyse qui décrit le processus par lequel nous réagissons aux situations du présent selon un modèle établi dans le passé, généralement dans l’enfance. Apprendre à connaître nos propres transferts particuliers est essentiel pour nous comprendre. Il est défini en outre dans le Dictionnaire critique de la psychanalyse comme le processus par lequel un patient se déplace vers ses sentiments d’analyste, ses idées, etc., qui dérivent de figures antérieures de sa vie (voir déplacement); par lequel il se rapporte à son analyste comme s’il était un ancien objet de sa vie; par lequel il projette sur son analyste des représentations d’objets acquises par des introjections antérieures (voir projection); par lequel il confère à l’analyste la signification d’un autre objet, généralement antérieur. 2. L’état d’esprit produit par 1 chez le patient. 3. En gros, l’attitude émotionnelle du patient envers son analyste.
Pour citer un peu ma propre thèse de doctorat, le transfert est défini comme le processus par lequel les représentations mentales existantes d’autrui refont surface pour influencer de nouvelles relations sociales. interactions (Anderson & Cole, 1990), et ces processus de transfert influencent les réactions émotionnelles, motivationnelles et comportementales envers les étrangers (Anderson & Glassman, 1996).
Cependant, lorsque des facteurs de stress traumatiques sont ressentis, tels que la violence interpersonnelle et l’exploitation, cela peut avoir un impact très négatif sur la capacité d’une personne à développer et à entretenir des relations. Il a été démontré que des sentiments spécifiques à l’attachement , les défenses et les attentes (c.-à-d. les styles d’attachement) peuvent être transférés d’une relation à une autre (Brumbaugh & Fraley, 2006), et ces effets sont aggravés lorsque les sources de détresse (c.-à-d. , violence, négligence ou abus) com e des proches ou des soignants (Hildyard & Wolfe, 2002; Holt, Buckley, & Whelan, 2008).
Les séquelles développementales des personnes qui ont subi de graves transgressions interpersonnelles cumulatives comprennent des altérations des relations avec les autres, y compris la capacité de se connecter avec d’autres personnes de manière à favoriser la sécurité et la stabilité relationnelles (Pearlman & Courtois, 2005). De telles altérations peuvent empêcher la formation de relations saines (c.-à-d., Soutien social et relations de soutien) qui se sont avérées atténuer et atténuer les effets néfastes de l’instabilité et du chaos, ainsi que des abus, des victimisations et des pertes supplémentaires (Bowlby, 1969; Wortman, Battle, & Lemkau, 1997).
Malgré les preuves croissantes de ces processus et de la théorie qui prétendent expliquer ses phénomènes dynamiques, et en outre, un paradigme méthodologique développé pour étudier le transfert au cours des deux dernières décennies (Andersen & Baum, 1994; Andersen & Berk, 2000; Hinkley & Andersen, 1996), il existe peu de preuves empiriques suggérant que ces Les processus interpersonnels existent dans le travail psychothérapeutique avec des présentations complexes. Néanmoins, peu de preuves ne veut pas dire aucune preuve!
Cet article est destiné à vous aiguiser l’appétit pour plus et aucun article ne peut complètement satisfaire ou fournir une définition complète de ce phénomène. Mais commençons par quelque chose de simple: découvrez pourquoi et comment le transfert est important, et son impact sur nous dans nos relations interpersonnelles. Profitez-en!