Byline (Français)

Les Bylines étaient rares avant la fin du 19e siècle. Auparavant, la pratique la plus similaire était l’article occasionnel «signé» ou «signature». Le mot byline lui-même est apparu pour la première fois en version imprimée en 1926, dans une scène se déroulant dans un bureau de journal dans Le soleil se lève aussi d’Ernest Hemingway.

L’une des premières utilisations cohérentes de l’idée était pour le reportage sur le champ de bataille pendant Guerre civile américaine. En 1863, le général de l’Union Joseph Hooker a demandé aux journalistes de champ de bataille de signer leurs articles afin de savoir quel journaliste blâmer pour toute erreur ou violation de la sécurité.

La pratique est devenue plus populaire à la fin du 19e siècle, alors que les journalistes sont devenus des personnalités plus puissantes et plus populaires. Les Bylines ont été utilisés pour promouvoir ou créer des célébrités parmi certains journalistes jaunes pendant cette période. Les partisans des articles signés estiment que la signature rend le journaliste plus prudent et plus honnête; les éditeurs pensaient que cela permettait aux journaux de mieux vendre.

Cependant, l’utilisation croissante des bylines a été combattue par d’autres, y compris l’éditeur-propriétaire du New York Times, Adolph Ochs, qui pensait que les bylines interféraient avec la nature impersonnelle des nouvelles et a diminué le sens de la responsabilité institutionnelle pour le contenu d’un article. Bylines est resté rare dans ce journal pendant plusieurs décennies.

Le premier article de services de fil Associated Press avec une signature est apparu en 1925, et le la pratique est devenue monnaie courante peu de temps après.

Depuis les années 1970, la plupart des journaux et magazines modernes ont attribué presque tous les articles, sauf leurs articles les plus courts et leurs propres articles, à des journalistes ou à des agences de presse.

L’hebdomadaire britannique The Economist, qui publie presque tous les articles de manière anonyme, à l’exception des articles de blog, fait exception. The Economist explique que cette pratique est traditionnelle et reflète la nature collaborative de leurs rapports.

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